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Psaume 119.49-56
49Souviens-toi de ta promesse à ton serviteur, puisque tu m'as donné l'espérance! 50C'est ma consolation dans ma misère, car ta promesse me rend la vie. 51Des hommes arrogants m'accablent de moqueries, mais je ne m'écarte pas de ta loi. 52Je me souviens de tes sentences passées, Eternel, et c'est ce qui me console. 53Une colère ardente s'empare de moi à cause des méchants qui abandonnent ta loi. 54Tes prescriptions sont le sujet de mes chants dans la maison où je suis étranger. 55La nuit je me rappelle ton nom, Eternel, et je respecte ta loi. 56La part qui me revient, c'est de garder tes décrets.
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LA PAROLE QUI FAIT VIVRE
- 1 Des commandements à valeur universelle et intemporelle.
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Vous avez une remarque sur ce commentaire ? Vous pouvez utiliser ce formulaire pour contacter notre équipeEn pratique Comment peux-tu mettre en pratique le texte biblique lu aujourd'hui ?
A méditer
« La part qui me revient, c'est de me conformer à tes commandements. » Cela devrait être notre préoccupation principale.Lire aussi : Pr 4.1-9 • Hé 12.18-24 • Lc 14.1 ; 7-14
18Vous ne vous êtes pas approchés d'une montagne qu'on pouvait toucher et qui était embrasée par le feu, ni de l'obscurité, ni des ténèbres, ni de la tempête, 19ni du retentissement de la trompette, ni du bruit des paroles. Ce bruit était tel que ceux qui l'ont entendu ont refusé qu'il leur soit adressé un mot de plus. 20Ils ne supportaient pas, en effet, cette consigne: Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée. 21Le spectacle était si terrifiant que Moïse a dit: Je suis épouvanté et tremblant de peur! 22Au contraire, vous vous êtes approchés du mont Sion, de la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, et ses dizaines de milliers d'anges 23en fête, de l'assemblée des premiers-nés inscrits dans le ciel. Vous vous êtes approchés de Dieu qui est le juge de tous, des esprits des justes parvenus à la perfection, 24de Jésus, qui est le médiateur d'une alliance nouvelle, et du sang purificateur porteur d'un meilleur message que celui d'Abel.
1Un jour de sabbat, Jésus était allé dans la maison de l'un des chefs des pharisiens pour prendre un repas, et les pharisiens l'observaient7Il adressa ensuite une parabole aux invités, en voyant qu'ils choisissaient les meilleures places. Il leur dit: 8«Lorsque tu es invité par quelqu'un à des noces, ne te mets pas à la meilleure place, de peur qu'il n'y ait parmi les invités une personne plus importante que toi 9et que celui qui vous a invités l'un et l'autre ne vienne te dire: 'Laisse-lui la place!' Tu aurais alors la honte d'aller occuper la dernière place. 10Mais lorsque tu es invité, va te mettre à la dernière place, afin qu'au moment où celui qui t'a invité arrive, il te dise: 'Mon ami, monte plus haut.' Alors tu seras honoré devant [tous] ceux qui seront à table avec toi. 11En effet, toute personne qui s'élève sera abaissée, et celle qui s'abaisse sera élevée.» 12Il dit aussi à celui qui l'avait invité: «Lorsque tu organises un dîner ou un souper, n'invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu'ils ne t'invitent à leur tour pour te rendre la pareille. 13Lorsque tu organises un festin, invite au contraire des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles, 14et tu seras heureux, car ils ne peuvent pas te rendre la pareille. En effet, cela te sera rendu à la résurrection des justes.»
« Combien j'aime ta loi ! »
Répétée sous différentes formes tout au long de ce psaume, cette déclaration célèbre la Torah, donc l'ensemble de la révélation de Dieu. Ici, elle sous-tend toute la strophe qui a de quoi inspirer les moqueurs et tous ceux qui se laissent impressionner par l'idéologie libertaire de la société dans laquelle nous vivons. Pourtant, on ne cesse de voter de nouvelles lois et il n'est pas nécessaire d'avoir un permis de conduire pour savoir que la circulation serait impossible sans code de la route ! Et l'on se moque des croyants parce qu'ils se réclament de lois données par le Créateur pour que la société vive en paix ! Nous avons un immense espace de liberté, mais nous avons absolument besoin de connaître les limites au-delà desquelles on ne peut s'aventurer sans danger pour soi et pour les autres. Alors, voilà pourquoi aimer cette Loi et la méditer constamment.L'écueil du légalisme
Il arrive malheureusement qu'on mette la loi des hommes au même niveau d'autorité que la Loi de Dieu, voire au-dessus. Comme le code de la route, les lois des hommes peuvent être excellentes et indispensables, pourtant il ne faut jamais leur donner la même place qu'à la Loi de Dieu. La Loi de Dieu dit simplement : « Tu aimeras ton prochain » et « tu ne convoiteras pas ce qui lui appartient »1. Cela exige une réflexion constante, voire plus exigeante que l'observation d’une liste de permis/défendu !